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De mes nouvelles

JEUDI 1er JUILLET 2021

Voici bien longtemps que je n'écris plus rien sur ce Blog, pas plus que sur le site, déjà si fourni.

En réalité, je suis tellement prise par l'école de musique dont je m'occupe depuis presqu'un an maintenant ... Je me suis même chargée du site Internet.

Et, quelle ironie, je n'ai presque plus le temps, ni de marcher, ni de faire de la musique !!! 

Alors je suis venue par hasard faire un tour ... sur mon propre site !

Une personne m'avait écrit, et même si je ne travaille plus sur MarchePlaisir, en général, je réponds.

Je me suis dit que ce serait l'occasion de donner un peu de mes nouvelles. 

Voilà qui est fait. 

Un bel été à tous, et malgré tout, restez prudents ! 

Annick

 

 

 

Ma dernière randonnée

Ne vous méprenez pas, j'espère bien recommencer dès que possible à randonner. Moi qui étais si contente de cheminer à nouveau avec mes amis de Rando Découverte Amitié, l'association dont je fais partie, voilà que je suis de nouveau immobilisée pour quelques temps.

Depuis le mois de septembre, j'avais repris régulièrement les randonnées. La première fois, autour des Etangs du Cora, une randonnée plutôt plate, qui correspondait bien à mon désir de reprendre en douceur et dont le parcours faisait 10 km.

La deuxième randonnée était autour de Bréançon, joli coin du Vexin, pour laquelle nous avons parcouru environ 12 km et la troisième, plus citadine, dans le cadre de la Semaine Bleue s'est déroulé d'Osny à Pontoise et ne faisait que 8 km.

 

Le 18 octobre 2018, c'est du côté de la ferme d'Ecancourt que nous sommes allés nous garer. Elle commençait vraiment très bien cette belle randonnée aux couleurs automnales. Un soleil d'octobre, étonnamment chaud pour la saison, m'a fait tomber la veste dès la première côte. J'avais plaisir à prendre quelques photos. A peu près à la moitié de la randonnée, avant notre pause, j'étais en pleine conversation avec un randonneur du groupe, lorsque je me suis brusquement retrouvée par terre. Je pense m'être tordu la cheville, mais je n'ai rien vu venir, je n'ai pas trébuché, je n'ai pas eu le temps de rétablir l'équilibre, je n'ai pas compris ce qui m'arrivait. Ma chute sur le thorax a été très violente et je n'ai pas eu le réflexe de mettre mes mains pour amortir. Nous étions en pleine forêt de l'Hautil. J'ai entendu quelqu'un crier : «  Ne la touchez pas ! Annick, tu peux te relever ? »

Je me suis relevée avec une violente douleur au niveau de la poitrine, ainsi que la cheville droite très douloureuse. Une amie randonneuse m'a donné des granules homéopathiques d'Arnica.

C'était la pause. Puis nous sommes repartis. Nous avons continué en forêt, traversant quelques routes. J'espérais que nous allions bientôt rencontrer un village et que j'aurais pu appeler un ami qui serait venu me chercher en voiture. Mais ça n'a pas été le cas et j'ai marché encore 6 km. Chaude ma cheville ne me faisait pas plus souffrir que ça. Je sentais une douleur à la poitrine, au niveau du plexus, là où se trouvait la boucle de mon sac à dos. J'avais emprunté les bâtons d'une randonneuse de petite taille. Ils étaient trop petits pour moi, mais je ne voulais pas changer son réglage. Je m'en servais pour alléger un peu ma cheville.

Une fois rentrée, j'ai mis de la glace sur la cheville, puis une attelle. C'est ma troisième entorse exactement au même endroit, je suis bien équipée ! Les béquilles m'ont bien servi aussi, surtout que chez moi, il y a trois niveaux, donc deux escaliers.

J'avais toujours un peu mal à la poitrine et j'étais obligée de restreindre ma respiration. La première nuit a été horrible, j'ai même eu des nausées et une douleur très forte au niveau du plexus que j'ai attribuée aux anti-inflammatoires que je supporte très mal mais que j'avais pris le soir pour l'entorse.

Ce n'est qu'une semaine après que les douleurs au thorax sont devenues tellement insupportables une nuit que j'ai pris peur et que je me suis rendue aux urgences médicales, où j'ai passé plus de cinq heures.

J'avais déjà enlevé mon attelle et l'avais remplacée par une chevillère. Le médecin qui m'a ausculté m'a dit de la remettre et de la garder minimum trois semaines. Il a diagnostiqué des côtes fêlées. Rien à faire d'autre que le repos total et les anti-douleurs. Moi qui ne prends plus jamais de médicaments, là je ne pouvais pas faire autrement tellement je souffrais. Je ne pouvais ni rire, ni tousser, ni éternuer, ni même respirer normalement et je me sentais épuisée par une semaine pendant laquelle j'avais peu dormi et respiré à l'économie.

Le médecin des urgences avait dit que je mettrais entre un et deux mois pour guérir mes côtes. Au bout d'un mois je ne sentais pratiquement plus rien. Mais j'ai vraiment trouvé le temps long !

 

Je commence des séances de rééducation demain matin. Pour l'instant, il n'est pas question pour moi de reprendre les randonnées, mais c'est mon objectif.

Mes problèmes de sommeil et mes mouvements involontaires des jambes la nuit étant toujours présents, il est plus délicat de guérir de ce genre de blessures.

Où en est mon SJSR ?

Voici bien longtemps que je n'ai rien écrit dans mon blog. Pourtant, il m'en est arrivé des choses depuis le dernier billet. Je voulais attendre avant de raconter comment se passe ma vie sans médicament... Et puis à vrai dire, je suis très très occupée, mais cela fera peut-être l'objet d'un autre billet de mon blog. 

Le 12 octobre 2015, j'ai cessé complètement la prise du Requip LP 2 mg que je prenais un jour sur deux seulement depuis presque deux années. J'avais déjà fait un premier essai de sevrage, qui s'était soldé par un échec.

Mais cette fois, même si cela a été très difficile, j'ai surmonté tous les troubles dûs au manque. Si j'ai pu le faire, c'est simplement qu'une personne qui m'est très chère a réussi à me donner tout le courage nécessaire.

Trois années se sont écoulées depuis, sans traitement, même si parfois mes jambes s'agitent encore, notamment lorsque je suis un peu trop perturbée émotionnellement (en négatif, comme en positif), je peux vraiment affirmer que ce n'est pas pire que lorsque j'étais encore sous Requip.

J'ai trouvé un autre moyen de produire la dopamine qui semblait me manquer...

Nénmoins, je reste vigilante, notamment sur l'alimentation, et sur d'autres aspects de ma vie.

Je ne consomme plus de produits laitiers au lait de vache, mais uniquement au lait de brebis ou de chèvre, depuis plus de quatre ans.

En juin 2016, j'ai cessé de prendre chaque jour deux ou trois carrés de chocolat comme je le faisais. Très occasionnellement, cela m'arrive d'en manger, mais sans y trouver vraiment de plaisir. 

Je ne consomme plus jamais de café, pas même décaféiné. Je réserve le thé uniquement pour le petit-déjeuner. 

L'alcool ne m'ayant jamais vraiment attirée, j'en bois très très exceptionnellement.

Depuis août 2016, je n'allume plus jamais la télévision.

Par contre, j'ai axé ma vie sur ce qui me fait vraiment plaisir. J'ai choisi de m'autoriser à dire non, de ne pas m'imposer des sorties ou des relations qui me déplaisent et de consacrer tout le temps que je souhaite à ce qui me rend heureuse. ( Et à ceux qui me rendent heureuse)

Cela paraît tout simple n'est-ce pas ? Et pourtant ... 

Autre point positif, les nombreux kilos accumulés pendant les différents " traitements" médicamenteux sont en train de fondre tout doucement. 

Marcher en Espagne

Notre association de randonneurs ira en mai prochain, fouler le sol espagnol, en Catalogne, plus exactement.

Amis marcheurs, voici un message que je viens de recevoir de Jean-Pierre qui propose également des randonnées en Espagne :

Je vis à Rosas depuis 15 ans, passionné de marche , j'ai pu découvrir au travers du GR. 92 et GR 11 beaucoup de sentiers

des environs de Rosas, de Cadaqués et Puerta de la Selva.

Je souhaite maintenant faire partager cette expérience, à ceux q

ui comme moi ont cette passion.

DAYNES Jean Pierre    j.daynes@orange.fr 

Pays de résidence : Espagne

Message de SUGAR LAB

Ils ont réussi !!!! Ils avaient 60 jours pour réunir la somme nécessaire à la réalisation de leur projet ...

OBJECTIF ATTEINT !

Message de Sugar Lab

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MERCI ENORMEMENT!!!!

ON VA POUVOIR VOUS FAIRE UN SUPERBE ALBUM DANS DE BONNES CONDITIONS !!!!!

Allez, à nous de jouer, il ne nous reste plus qu'à : enregistrer, s'occuper du visuel, mixer, masteriser, répéter et on en passe !

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On vous souhaite à toutes et à tous une bonne année 2015, et on se retrouve très vite avec un tout nouvel album !!!

Pour tous ceux qui ont contribué, encore un énorme MERCI et on vous recontacte fin mars pour vos contreparties

Mon combat contre le SJSR

Mon combat contre le SJSR

Mais aussi avec les médicaments ! Je sais, en principe, ils ne sont pas nos ennemis … mais en principe seulement ! C'est pourquoi j'ai écrit "avec" et pas contre

Dans mon dernier billet concernant cette pathologie dont je suis malheureusement affectée depuis 2006 et traitée depuis mars 2007, je vous disais que mon objectif était de continuer à tenter d’arrêter tous médicaments.

 

J’avais réussi à complètement supprimer l’Atarax (12,5 mg) et le Tramadol (50 mg)

 

Il ne me restait plus que … le Requip LP (2mg)

 

Depuis plus d’un an déjà je n’en prends qu’un soir sur deux.

 

Et si je respecte bien l’horaire des prises et que ma vie n’est pas trop bousculée, cela ne se passe pas trop mal.

 

Non pas que mes nuits soient parfaitement reposantes, mais, j’ai connu tellement pire que je ne suis pas très difficile.

Dormir 5 à 6 heures d’affilée est déjà presque une victoire.

 

L’année 2015, comme chacun le sait, a bien mal commencé ...

 

Pour ma part, ce mois de janvier restera dans ma mémoire pour de nombreuses raisons, et notamment à cause d’une chute survenue le 17 janvier 2015.

J'ai tout simplement glissé, je suis tombée et je me suis retenue avec ma main gauche qui n'a pas du tout aimé ça.

 

Résultat, je porte depuis une attelle poignet-main. Il semble que ce soit des fissures aux petits os de la main. Moi qui avais trouvé un équilibre depuis mon début d'apprentissage du piano ... Je vous laisse imaginer ma tristesse.

 

Si je reviens vers vous, c'est pour vous dire qu'une fois encore, le Tramadol ( 200 mg puis 100 mg ) m'a offert des nuits de rêve !

Avec même des siestes copieuses en supplément.
 

J'ai malheureusement fait une tentative pour espacer encore mon Requip LP.

J'ai raconté mon parcours sur un billet de mon Blog : Des nouvelles de mon SJSR.

J'étais donc depuis pas mal de temps à un seul comprimé de Requip LP 2 mg le soir et seulement un jour sur deux, et ça n'allait pas trop mal dans l'ensemble. Malgré quand même quelques crises qui surviennent à chaque fois que je retarde un peu la prise. D’où la difficulté de sortir le soir, surtout si je dois conduire, car dans ce cas, je diffère la prise. J'ai voulu profiter de ces quelques jours de répit offert par les anti-douleurs ( Tramadol) pour espacer un peu plus mon Requip en le passant à un jour sur trois. Cela a fonctionné ... au début !

 

Mais je suis d'un tempérament un peu ... impatient ! Bizarre pour quelqu’un qui souffre de ce qu’on a coutume, à tort, d’appeler « des impatiences » !

 

Donc,  j'ai très vite diminué les doses de Tramadol. N’ayant plus de douleurs, je me servais de mon bras malgré l'attelle, ce qui n’est pas, je pense, une bonne chose.

Donc j'ai supprimé le Tramadol ... Sans compter qu'il occasionne de la constipation et que ayant déjà limité mon activité, cela n'allait pas dans le bon sens !

Seulement voilà, mon corps n'a pas du tout aimé tout ça et me le fait savoir depuis quelques jours. Enfin ... depuis quelques nuits devrais-je dire !

 J'ai capitulé et je suis repassée à un soir sur deux pour le Requip LP 2 mg.

Je vous précise qu'il s'agit d'une forme LP ( Libération Prolongée), et que c'est le plus petit dosage existant sous cette forme, et que je ne dois ni couper le comprimé, ni le mâcher sous peine de surdosage.

Pour mémoire, je suis traitée depuis mars 2007, bientôt 8 ans, et hélas,  j'ai vu de nombreux kilos s'installer. Pas loin de 30 kg !

 

Vous comprenez sans doute que, même si je n’avais plus vraiment le choix, je n’ai jamais accepté ce médicament.

Peut-être vais-je trouver un jour un traitement qui me satisfasse tout en me permettant de dormir, de récupérer, de me lever enfin reposée.
 

Je ne manquerai pas de vous tenir au courant. Courage à toutes celles et à tous ceux qui souffrent.

Billets de mon Blog concernant aussi le SJSR :

Des nouvelles de mon SJSR   et  Syndrome des Jambes Sans Repos ( SJSR)

SJSR J'enrage

 

 

 

 

 

 

 

Blessée

Blessée … Blessure …

« Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi ! » un livre fort intéressant de Michel Odoul, qu'il va me falloir consulter une fois de plus.

 

J’aimerais bien savoir pourquoi,

Lorsque je fais ce qui me plaît

Je me blesse toujours

 

J’aimais danser,

Le SJSR est venu tout gâcher.

J’aimais marcher,

Une vilaine entorse à la cheville

Est venue m’en empêcher.

Maintenant c’est du piano

Dont je devrais me priver ?

 

Je ne randonne plus vraiment depuis quelques temps. Les sorties étaient un peu longues pour mon état de santé. J’entretiens ma forme en faisant de temps en temps des petites marches solitaires qui me font le plus grand bien.

Cependant je fais toujours partie du Bureau de mon Association de randonnée.

Samedi 17 janvier, alors que je me rendais, à pied, à notre Assemblée Générale, j’ai pris un risque que je n’ai pas bien mesuré. D’ordinaire, lorsque j’emprunte ce trajet, je descends un petit talus. Mais je suis alors bien chaussée ! Or, ce 17 janvier, ce ne sont pas mes chaussures de randonnée que je portais hélas et la terre était mouillée…

J’ai glissé et je suis tombée sur les fesses puis le dos, et bien sûr j’ai eu le réflexe de me retenir avec la main gauche qui était libre. Je me suis relevée, endolorie. Je sentais bien que mon poignet avait dû souffrir de ma chute.

Je me suis rendue là où avait lieu notre réunion, et j’ai passé ma main sous l’eau froide longuement, pensant que la douleur se calmerait. Mais ce ne fut pas le cas et ma main commençait à enfler légèrement.

J’ai donc dû quitter la salle pour me rendre d’abord chez  mon voisin pharmacien qui m’a de suite soulagée un peu en  immobilisant ma main avec une attelle. Néanmoins il m’a conseillé d’aller au plus vite passer une radio.

Je me suis donc rendue aux Urgences où je suis restée … trois heures !

J’ai beaucoup souffert pour la radio. Main à plat, on m’a positionné de force le poignet en extension latérale vers l’extérieur ! J’ai bien cru que  j’allais m’évanouir tant la douleur était forte. J’ai eu encore plus mal par la suite et ma main a gonflé davantage.

Après une très longue attente, on m’a appris que la radio ne montrait pas de fracture du poignet.  Ouf !

Mais que j’avais probablement plusieurs fissures dans les os de la main invisibles à la radio. :-(

Pour l'instant, je dois porter une attelle pendant quinze jours, pour commencer ...

Puis il faudra que je passe un scanner pour voir si les petits os de la main sont fissurés.

Et bien sûr quelques jours d'anti-douleurs et le bras en écharpe pour éviter de trop enfler.

 

 Je suis trop triste ... J'espère que je pourrai vite reprendre le piano.

Les deux attelles

Mais ne cédons pas à la morosité !

Même blessée, je peux marcher,

Moins vite, moins loin ...

Il est des endroits où je suis bien décidée

De me rendre, même s'il me faut ramper !

Merci Annie, merci Claire, merci Catherine, merci Maria...

J'aime marcher seule, mais j'aime bien marcher avec vous aussi

Et surtout vous compter parmi mes amies.

 

 

 

Bonne année 2015

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"Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. 

Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. 

Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.

Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants.

Je vous souhaite de respecter les différences des autres,

parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir.

Je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque.

Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour,

car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.

Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable."

                                                                 Jacques BREL

Merveilleux texte de Jacques BREL ...

Qu'il m'a été difficile cette année de présenter mes voeux quand la première semaine de janvier a été aussi tragique ...

Mercredi 7 janvier 2015 : Je suis atterrée, consternée, révoltée, terriblement attristée, par cet attentat immonde !

Alors que m’apprêtais à vous souhaiter la meilleure année qui soit ...

S'attaquer à Charlie Hebdo, symbole de la liberté d’expression, ce sont les fondements même d'un Etat de droit qui sont ébranlés.

Vous avez perdu !

Vous avez assassiné des journalistes et des policiers au nom de rien, vous avez cru nous faire peur et vous avez perdu.

Vous avez gagné, le droit de voir un peuple se lever.

Votre barbarie a rassemblé le monde entier derrière la liberté d'expression et le droit à l'humour.

La France est une république libre et laïque.

"Je suis Charlie"

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Le piano et moi : une histoire d'amour

Le piano et moi : une histoire d’amour

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Lorsque j’étais enfant, j'ai toujours rêvé de jouer du piano, mais mes parents n'étaient pas assez aisés pour me faire prendre des leçons. Nous étions trois enfants et habitions un appartement tout en haut d’un immeuble, où il n'était pas vraiment possible de mettre un piano. De toute façon, il n'en a même jamais été question.

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Il y a plus de vingt ans, j’avais été consultée juste avant mon anniversaire pour  savoir ce que j’aurais aimé comme cadeau.

J'avais répondu spontanément : un piano ! Je passais une dizaine importante cette année-là…

Seulement voilà... c'était à peu près deux ans avant que ma vie change radicalement et en fait de piano, on m'a offert une magnifique commode en chêne massif, ainsi qu’un grand miroir. Je n'avais jamais compris pourquoi, mais à l'époque, je n'ai pas posé de question, je n'ai pas réagi. Sans doute un piano était-il trop cher ? Pas plus cher cependant qu’un voilier mais ça, c’est une autre histoire…

J’ai compris par la suite qu’il y avait sans doute une autre raison dont je ne peux faire état ici.

A mon grand désespoir, notre famille est devenue ce que j’appelle une "famille décomposée".

Une longue période de ma vie est restée silencieuse … Je veux dire que même la musique m’était devenue insupportable.

Je ne lisais plus non plus, je n’écrivais pas vraiment ce qui pourtant m’aurait sans doute soulagée.

Deux décennies plus tard,  j’ai enfin réalisé mon rêve. Pourquoi avoir tant attendu ?

Sans doute n’avais-je pas pour habitude de m’occuper suffisamment de moi, de mes propres désirs, trop occupée à satisfaire autant que possible ceux de ma famille.

Au mois d’avril 2013, suite à un accident survenu à ma belle-fille, j’ai dû conduire ma petite-fille à ses leçons de piano et son professeur a gentiment accepté ma présence à tous les cours. J’ai également aidé pour le travail à la maison et poser mes mains sur le piano a fait ressurgir en moi cette envie. Il n’en fallut pas plus pour que je décide de faire l’achat d’un piano numérique.

Et le 16 mai 2013, le piano était chez moi. Enfin ! 

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J'ai acheté une méthode et j’ai commencé seule l’apprentissage de ce merveilleux instrument.

Au mois de juin, alors que j’allais partir en vacances, j’étais profondément triste à l’idée de quitter mon piano.

Ne pas pouvoir jouer pendant quinze jours me paraissait intolérable.

Un de mes amis, pianiste depuis de longues années, m’a alors conseillé l’achat d‘un petit clavier numérique de 61 touches que je pourrai facilement transporter. Il m’avait également mise en garde contre le fait qu’interrompre deux semaines un apprentissage aussi récent risquait bien de me faire perdre tout ce que j’avais déjà eu bien du mal à étudier seule. Je n’ai pas mis beaucoup de temps à me décider. Et quelques jours plus tard, mon piano avait un petit frère !

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Depuis ce petit clavier m’accompagne dans tous mes déplacements. En vacances dans l’Aude au mois de juin, il était avec moi ! Lors de ma semaine chantante à Alès, dans le Gard il m’a suivi ! Sylvie, une amie d’enfance nous a acceptés chez elle quelques jours mon clavier et moi ! Et je lui ai donné mon premier petit concert ! Merci Sylvie de m’avoir écoutée, et encouragée !

A chaque hôtel où je faisais étape lors de mon périple estival, le clavier s’invitait dans ma chambre. On ne se quittait plus !

Je travaillais donc quotidiennement pendant quatre mois, avançant à mon rythme, et prenant déjà du plaisir à jouer quelques petits morceaux assez simples.

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En septembre 2013, je suis allée passer une semaine dans le Var, chez une amie de longue date. Même s’il y avait peu de place dans sa chambre qu’elle m’avait gentiment laissée, je jouais accroupie, les fesses posées sur mon vanity case ( le pauvre ! ) et le clavier posé sur le lit.

Georgette, toi aussi je te remercie, tu as écouté si gentiment les quelques morceaux que je jouais si maladroitement !

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C’est chez toi, chère amie, que j’ai reçu un coup de téléphone qui allait m’aider à prendre une décision très très importante.

«  J’ai un créneau avec mon meilleur professeur de piano, le jeudi à 16 h 10, tu le prends ? » 

Pas un seul instant d’hésitation de ma part, juste un « ouiiiiiii » retentissant et un immense sourire !

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Mon amie a bien senti qu’il se passait quelque chose…                         

Le 19 septembre 2013, c’est avec une immense émotion que je suis entrée dans cette petite salle où le professeur m’attendait pour ma première leçon de piano.

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Je le connaissais et l’avais déjà entendu jouer lors d’un concert des professeurs auquel j’avais assisté au mois de mars 2012.

Il n’était malheureusement pas le professeur de ma petite-fille, pourtant c’est lui qui était présent auprès d’elle lorsqu’elle a passé une audition en janvier 2013.

Et elle n’aurait sans doute pas abandonné le piano si c’était lui qui le lui avait enseigné.

J’étais toute tremblante lors de cette première rencontre avec mon professeur.

Terriblement anxieuse et follement heureuse à la fois.

Et mon tout premier morceau a été le Prélude n°1 de Bach. Quel plaisir !

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Un grand merci à lui pour ce beau choix.

Il m’a fallu commencer à apprendre à lire les notes en clé de sol puis en clé de fa.

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Mes connaissances en solfège sont plus que limitées, mais je compte bien y remédier.

Parallèlement, j’ai suivi un cours de formation musicale.

L’année a passé très vite, et j’avoue avoir eu beaucoup de crainte à rester les deux mois sans continuer les cours.

Je n’ai bien sûr pas interrompu le piano et mon petit clavier a suivi ma route pour son deuxième été en ma compagnie.

J’ai travaillé avec application pendant ces deux longs mois.

Je ne voulais surtout pas oublier les dix-sept morceaux que j’avais étudiés de septembre 2013 à juin 2014.

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Le 16 septembre 2014, c’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé mon professeur … 

Et à chaque période de vacances, l’élève appliquée que je suis attend la rentrée avec impatience.

Monsieur Mon Piano, ma vie a changé depuis TOI !

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Pontoise Jazz Machine au Dôme

PONTOISE JAZZ MACHINE en concert au Dôme le samedi 15 novembre à 20 h 30

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Ses douze musiciens talentueux vous feront passer un bon moment.

Venez assister à leur prochain concert !

Leur répertoire est varié, entraînant : latin-jazz, biguine, rock et soul…

Des reprises de Duke Ellington, Louis Armstrong, Carlos Santana, Macéo Parker, Candy Dufler et Memphis Minnie

L’entrée est libre et gratuite …

Vous pourrez aussi les retrouver le samedi 6 décembre à 20h30 au Caméléon.

Cette fois-ci pour une soirée animée avec  l’ “Accordéon Club de Pontoise”.

Pontoise Jazz Machine Tél. : 06 81 39 42 86.

pontoisejazzmachine@gmail.com

Retrouvez toute l'actualité de l'association sur la page Facebook "Pontoise Jazz Machine"

 

Dernier verre - Premier Album de Sugar Lab

Dernier verre … Cela vous évoque quoi ?

Je me rappelle de certaines soirées festives, de celles qui se prolongent tard dans la nuit … Tout le monde se dit qu’il faudrait arrêter, qu’il est temps de rentrer … mais personne n’arrive à se décider et on se dit qu’on va prendre le dernier verre…

Pour être honnête, on commence par le premier dernier verre, parce que la fête bat son plein et que ce serait dommage d’en manquer une partie.

Et avant le dernier dernier verre, parfois quelques-uns le précèdent…

On a envie de rire, de danser. On est avec des amis et ces moments-là, on a envie qu’ils durent, qu’ils durent … On n’a pas vraiment envie de se dire au revoir.

Mais laissez-moi vous expliquer :

Premier regard échangé, premier amour, premier baiser, premier bébé …

Comme quelque chose de sacré dans ce mot « premier »

C’est une nouvelle page que j’écris aujourd’hui.

Bien longtemps d’ailleurs que je n’avais écrit

Mais j’ai besoin de vous, mes lecteurs, mes amis

J’ai besoin de votre écoute, besoin de votre avis

Vous trouverez plus bas de quoi il s’agit

Et si comme moi vous mourrez d’envie

Que ce « Dernier verre » fasse plein plein de petits

Pour que d’autres chansons vous mettent en appétit

Vous pouvez retenir bien avant sa sortie

Leur premier CD  

Le premier album, du premier groupe français

Je compte sur vous pour les aider

D’avance je vous en remercie

http://www.kisskissbankbank.com/1er-album-de-sugar-lab?ref=search

KissKissBankBank est une entreprise de financement participatif. Si le projet n'aboutit pas vous êtes intégralement remboursé.

 

Des nouvelles de mon SJSR

Des nouvelles de mon SJSR                          

Hospitalisée au Centre Hospitalier du Vexin, à Aincourt, au mois de janvier 2013, c’est tout à fait par hasard que j’ai découvert un autre médicament ayant une action positive sur mes nuits. Suite à tous les traitements dont j’ai parlé dans un précédent billet, ma prise de poids s’élevait à près de 30 kg et cela en moins de 6 ans.  J’étais alors sous Requip LP à 2 mg le soir. Je devais aussi prendre du Tardyféron + B9 et du Magnesium + B6.  Mais j’étais aussi traitée par Effexor, pour une dépression réactionnelle, suite au suicide d’un de mes amis, en septembre 2012.

J’avais pour objectif non seulement de reperdre un peu de poids, mais surtout de me débarrasser du Requip sous surveillance médicale, et peut-être aussi de l’Effexor.

Or, mes jambes en ont décidé autrement. Les cinq premières nuits de mon séjour à l’hôpital ont été très perturbées. Je ne tenais pas allongée et il fallait absolument que je marche. Le moment était donc mal choisi pour entamer un protocole visant à diminuer encore, voire à supprimer, le Requip. Et l’état dans lequel je me trouvais, nécessitait de poursuivre absolument l’Effexor.

Je connais par cœur ce long couloir de 200 m et je l’ai maintes fois arpenté, en chemise de nuit. Quelle imprudence ! En plein mois de janvier, même dans un hôpital bien chauffé, le couloir, la nuit, est rempli de courants d’air. Mais à force de marcher je ne les sentais pas. Au matin de la cinquième nuit, je me lève, très fatiguée comme chaque fois que mes jambes sont en crise, et je ressens une raideur dans ma nuque et tout mon cou est douloureux. Il m’est impossible de tourner la tête. Dès le troisième jour de mon séjour, j’ai commencé des séances d’APA ( Activités Physiques Adaptées) et je suis bien décidée à les poursuivre malgré ma grande fatigue et cette douleur nouvelle qui vient me bloquer et me dérange profondément. Le médecin de garde ce matin-là, me diagnostique un torticolis et me prescrit du Tramadol 200 mg, un comprimé à prendre tout de suite et un autre le soir, et m’assure que d’ici peu je pourrai sans problème pratiquer l’activité physique adaptée. Effectivement, le jour même me voici suffisamment en état pour ne pas renoncer à me rendre dans la salle et à bouger un peu avec les autres. Mon cou est un peu raide, mes mouvements de tête limités, mais possibles. Le soir, je prends donc mon Requip et le comprimé de Tramadol 200 mg. Quelle ne fut pas ma surprise de me réveiller le lendemain, avec pratiquement plus de douleur, mais surtout en ayant dormi d’une traite, ce qui ne m’arrivait plus jamais depuis de longues années. Le médecin passe me voir, et me conseille de continuer au moins deux ou trois jours ce médicament. La même chose se produit trois nuits de suite, et cela me fait un bien fou. Je me sens très vite moins fatiguée, bien plus stable sur mes jambes, peu ou pas douloureuses et avec un bien meilleur moral.  Nouvelle visite du médecin qui m’encourage à poursuivre ce traitement plus longtemps.

Mon objectif n’était cependant pas de rajouter un autre médicament alors que je voulais justement en supprimer un. J’étais particulièrement déboussolée et remettais beaucoup de choses en question. Profitant de ce séjour pour faire le point sur ma vie qui ne me satisfaisait pas, je suis sortie de l’hôpital avec la ferme intention de changer des choses. Je différais légèrement ma décision, voulant profiter à fond d’un séjour raquettes à neige que j’avais organisé. Ayant pratiqué tous les jours, à l’hôpital, pendant un mois, les activités physiques et les mouvements en piscine qui m’avaient été prescrits, j’étais dans une forme physique plutôt bonne. J’avais perdu un peu de poids,  je marchais aussi tous les jours entraînant avec moi d’autres malades, et surtout mes nuits avaient été bien meilleures à la suite de mon torticolis. Donc ce séjour à la montagne, en février 2013, s’est bien passé. J’ai fait exactement ce que j’avais promis au médecin, c'est-à-dire, pas de randonnées à la journée mais juste des demi-journées.

A mon retour, je ne voulais plus différer ma décision : changer ma vie. Le mois de mars arrive et mon corps choisit de me dire que ce n’était pas le moment, me clouant au lit, avec une fatigue incroyable et une douleur insupportable dans le bas du dos. La douleur s’est étendue au bas-ventre, et j’ai constaté deux plaques du côté gauche l’une devant l’autre derrière et qui me démangeaient terriblement. On me diagnostique un zona et me voici de nouveau avec du Tramadol 200 mg matin et soir, du Zelitrex 500 mg, 6 comprimés par jour, et du Biseptine à appliquer localement en pulvérisation. Je dors, mais je suis épuisée. Et je vais garder très longtemps des douleurs post-zostériennes comme on les appelle.

Je sors à peine de ce zona qui malheureusement a mis à mal la forme physique que j’avais retrouvée avec peine. Je me dis cette fois encore, qu’il est temps de réagir et de choisir enfin une vie qui me convienne mieux. Mais de nouveau, mon corps a quelque chose à me dire. Je ne suis sans doute pas prête, même si je le crois, et une grosse crise de SJSR achève de me faire perdre le peu de force qui me reste. Six nuits avec très peu de sommeil, une agitation de mes jambes mais aussi de tout mon corps, et me voici revenue aussi basse qu’avant mon séjour à l’hôpital, en tous cas, c’est ce qui me semble à ce moment-là.

Heureusement, j’avais également un suivi psychologique à l’hôpital d’Aincourt ( Anne-Charlotte) ainsi qu’un rendez-vous mensuel avec la diététicienne de ce même hôpital ( Sophie) qui ont continué pendant quelques mois. Cela m’a sans doute permis de ne pas retomber aussi bas, mais aussi, cela m’a ouvert une porte. La diététicienne m’a mise en contact avec un médecin d’une consultation douleur à l’Hôpital de Magny-en-Vexin. A ce moment-là, en mai 2013, je ne supportais plus ces crises de SJSR, j’aurais fait n’importe quoi pour ne plus ressentir cette terrible angoisse de l’endormissement qui ne vient pas, cette agitation qui monte dans mon corps, et ces mouvements incontrôlables de mes jambes qui gâchent mes nuits. Ces journées sans aucune force, aucune envie. Je me suis donc rendue à la consultation douleur. Non seulement, j’ai dû renoncer, au moins provisoirement, à supprimer le Requip, mais en plus je me suis retrouvée avec quatre autres médicaments !!! Nous avons passé, en quelque sorte, un contrat avec le médecin qui a commencé à me suivre. Son point de vue étant que, sauf exception, un médicament était fait pour être arrêté un jour, mais pas de n’importe quelle façon. L’objectif premier était de faire cesser la douleur et retrouver le sommeil. Petit à petit, j’ai recommencé à dormir mieux, avec le traitement suivant : Tramadol 100 mg deux fois par jour,  Atarax 12,5mg le matin et 25 mg le soir, Laroxyl Gouttes 2 le matin et 7 le soir, et Transipeg si besoin, le Tramadol ayant comme effet secondaire principal la constipation. Mais le Requip LP 2 mg était maintenu, celui-ci étant prescrit par la neurologue qui me suit depuis 2009, je devais la reconsulter afin d’en envisager l’arrêt. Des tentatives infructueuses avaient déjà été tentées en 2012, mais ne devaient être poursuivies qu’après amélioration de mon humeur. De très nombreux problèmes familiaux fin 2011 et en 2012 avaient généré un syndrome dépressif réactionnel.

De mai 2013 à juin 2014, j’ai donc été suivie à la consultation douleur du Dr OUKIL à l’Hôpital de Magny en Vexin. Nous avons petit à petit convenu d’un protocole visant à diminuer progressivement les doses de mes médicaments, au fur et à mesure des consultations. Malheureusement en juin 2014,  le Dr Oukil m’a informée qu’il quitterait probablement le service en septembre, mais me recontacterait.

Hélas, à la rentrée, j’ai attendu en vain un appel de sa part.

J’ai tout de même continué mon "chemin", et à ce jour, je ne prends le Requip LP 2 mg qu’à raison d’un soir sur deux. Je ne prends que 50 mg de Tramadol LP le soir, ainsi que 12,5 mg d’Atarax le soir seulement et plus du tout le matin. J’ai totalement arrêté le Laroxyl.

De moi-même, j’ai acheté en pharmacie de la Mélatonine et j’en prends un soir sur deux en alternance avec le Requip LP 2 mg.

J’ai pour objectif de continuer à tenter d’arrêter tous médicaments.

Mes jambes seront-elles d’accord ?

Des nouvelles de Haute-Loire

Voici quelques nouvelles du groupe de randonneurs du Val d'Oise qui m'a suivie cette année encore pour un super séjour raquettes aux Estables.

Les onze du Val d'Oise en Haute-Loire

Celle que tout le monde souhaite est là, et bien là ! La Neige ! Nous avons même commencé nos randonnées en raquettes sous de jolis flocons.

Aujourd'hui, le ciel s'est éclairci et nous avons fait l'ascension du Mézenc.

Hélas, le soleil n'a pas daigné se montrer alors que nous étions au sommet, mais il nous a gâtés par la suite.

La descente nous a offert de beaux paysages, et pour ma part, j'en profite d'autant plus que le plus dur est fait.

Je vous invite à aller visiter l'album photos : Séjour Raquettes 2014

Mon année 2013

Mon année 2013

Hospitalisée dans le Vexin tout le mois de janvier

Séjour raquettes à neige en Haute-Loire en février

Un méchant zona en mars qui ne se laisse pas facilement oublier

Un retour en force de mon SJSR en avril

Un sacré tournant en mai et à bien des égards

Des vacances paisibles en juin marquées par des retrouvailles.

Une folle semaine chantante en juillet à Alès.

En août une petite semaine à Woodstock en Maine et Loire, la première vente à la ferme

En septembre un petit tour dans le Var et à mon retour, le début d’une grande aventure

En octobre, novembre, décembre, quelques tentatives de reprise de la randonnée, qui furent chacune très cher payées.

Des fêtes pas tout à fait bien fêtées …

Et voilà ! Cela passe vite une année !

J’ai délaissé beaucoup de choses pour me consacrer entièrement à ce qui était un vieux rêve d’enfance, d’adolescence, de jeunesse …

Maintenant, il est grand temps… Elle s’en est allée, ma jeunesse, mais une passion, ne s’éteint jamais vraiment…

Vite, il est bien court le temps qui reste !

Séjour Raquettes à neige en 2014

Depuis quelques temps, je vous propose chaque année un séjour d'hiver.

Cette année encore et sans doute pour la dernière fois, j'aimerais vous emmener faire des raquettes aux Estables.

Ce délicieux village d'Auvergne m'a littéralement conquise. J'y passe chaque année depuis cinq ans maintenant, été comme hiver.

Il faut dire que l'endroit où je séjourne est particulièrement agéable.

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Ce séjour est en priorité réservé aux adhérents de Rando Découverte Amitié

ainsi qu'aux adhérents de la section Marche Nordique de l'EACPA.

Cependant à dater du 15 novembre, il sera ouvert à toute personne m'ayant contactée au préalable via le formulaire de contact.

Dates du séjour:

du samedi 8 février au samedi 15 février 2014,

c'est à dire en dehors de la période de vacances scolaires toutes zones confondues.p2139682.jpg

En montant au sommet du Mont Mézenc

Plus de photos ici : Séjour Raquettes 2013

 

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