Officiellement, il n'était pas prévue de randonnée au planning ce dimanche 3 janvier 2010. Seulement voilà, les randonneurs du dimanche ont réclamé ! Et d'ailleurs, il eût été fort dommage de ne pas faire cette première marche de l'année 2010, car le temps froid, mais sec et ensoleillé a bien nettoyé nos organismes encrassés par les récentes fêtes de fin d'année !
Nous avons le plaisir ce matin, de retrouver Marie-Isabelle, une "ancienne", revenue nous faire une petite visite et marcher avec nous.
Nous sommes sur le parking du Foyer Rural au Christ d'Haravilliers, petit hameau de la commune d'Haravilliers. Il fait - 4° !
Richard tente-t-il d'esquiver la photo ou bien veut-il tout simplement s'échauffer ???
Allez, la troupe, en route !!! Un petit peu de bitume pour commencer sur la D188.
En voici quatre qui déjà se font distancer, et un vraiment très en arrière ...
Je vous assure, bien couverts, nous n'avons pas froid !
D'ailleurs, il suffit même d'une petite côte, et je me découvre, car j'ai trop chaud !
Elles ont des sourires radieux mes petites copines ce matin ...
Le groupe de tête s'arrête bientôt, intrigué par le toit de cette maison.
Chacun y va de son explication, mais nul n'a de certitude ! Voyons de plus près :
Certains se demandent s'il s'agit d'une cloche sur ce toit ? Et cet espèce d'escalier serait-il fait pour y accéder facilement ?
Quelqu'un a-t-il une explication ? ( Voir le commentaire de Suzanne à ce propos )
Nous voici sur le PR, qui va nous conduire vers les Buttes de Rosne. ( ou de Rône car l'on trouve les deux orthographes )
Nous allons suivre le PR 9 jusqu'à Cresnes, dans l'Oise.
Une petite pause dans le village, pour attendre les derniers.
Vous n'avez rien remarqué ?
Nous avons les mêmes chaussures !!!
Richard étrenne aujourd'hui sa toute nouvelle Thermos, cadeau du père Noël !
Le froid n'empêche pas Bruno de faire son petit "sitting".
"Antoine, ne boude pas !, c'est délicieux les Léononidas ! "
A l'écart du groupe, Micheline se régale, car Antoine a commencé sa distribution de chocolats ...
"Hummmm !!! Un chocolat comme ça, ça ne se refuse pas ! Merci Antoine !"
Mais je n'ai pas été prudente, ne me suis pas recouverte et commence sérieusement à me geler !
Alors vite, le sac sur le dos et on repart !
Mais d'abord, on fait le point ! A l'ancienne, comme Serge, avec sa jolie boussole antique, et plus moderne, Richard avec la boussole numérique de son nouvel iPhone.
Bernard est suivi de près par Antoine.
Moi, j'admire le paysage, en prenant des photos ...
... pendant que les 3M continuent de papoter dans la montée !!!
Nous sommes sur le GR 11, et ça monte encore !!!
Sur le plat, je retrouve mon sourire ...
car je vous l'avoue, cette côte et les accélérations que je fais pour prendre des photos m'ont un peu coupé les jambes !
A Hénonville, dans l'Oise, Richard, notre guide, fait une petite pause pour rassembler le groupe, avant de prendre la direction de Berville.
Nos Dupont-Dupond sont à la traîne car ils flânent un peu, s'arrêtant par exemple pour dire bonjour aux chevaux.
Encore une croisée de chemins, petite pause boisson chaude pour les uns, téléphone pour les autres et le groupe attend...
Nous venons d'entrer dans Berville,et par la même occasion de rentrer à nouveau dans le Val d'Oise, département que nous avions quitté.
Serge est posté, prêt à immortaliser une chute éventuelle !
Personne n'est vraiment chaud pour lui faire ce plaisir !!!
Je me méfie plutôt, même si je m'amuse toujours à poser en traversant le Rû de la Soissonne, ce petit ruisseau qui fera une petite rivière en allant grossir le Sausseron.
Et puis ... il faut bien préserver mon petit APN, si précieux pour mes "reportages" !!!
Pour les unes, la traversée est très zen, même si ça glisse un peu ... Pour l'une d'entre nous, quelques hésitations ...
...qui vont être vite balayées par ....
... la gentillesse de notre Micheline. Eh oui, Randonnée-Découverte-Amitié rime aussi avec solidarité !
Soulagée notre invitée !!!
En suivant toujours sur le GR 11, nous arrivons bientôt au Lavoir des Jorets à Berville.
Dans la rue d'Heurcourt, nous découvrons l'église Saint-Denis, que nous allons contourner.
La route monte et vire en "épingle à cheveux".
Contourner ? Enfin ... pas tous, car nos Dupont-Dupond trichent un peu et préfèrent "couper le fromage" comme disent les enfants !
Nous voici de l'autre côté; et ça grimpe encore !
Nous arrivons à Haravilliers par la D22E et nous sommes maintenant dans la rue de l'église.
Même si je suis en pleine discussion avec l'ami Bernard, je ne perds pas de vue mon objectif !
" Oui, oui, Bernard, c'est bien toi que je photographie ! "
Mais aussi l'église Notre-Dame-De-L'Assomption à Haravilliers. Il n'empêche qu'en papotant un peu trop, j'ai manqué le Colombier !
Ce sera pour une autre fois ! Nous rejoignons la D188.
Après la rue de l'église, la rue de la Mairie !
Haravilliers est l'une des communes les plus étendues du département, et se compose d'une dizaine de hameaux.
Le Christ d'Haravilliers, d'où nous sommes partis, est d'ailleurs l'un d'entre eux, et nous allons bientôt le rejoindre.
Nous récupérons nos voitures et direction Osny, où nous allons fêter cette toute première randonnée 2010 comme il se doit !
Voir la suite du billet !
Nous ne sommes que huit ce matin, mais quel plaisir de retrouver notre petit Père Noël qui n'est pas venu randonner depuis belle lurette !
Eh oui ! Le père Noël est descendu, non pas du ciel, et pas non plus avec son traîneau, mais avec sa Micheline !
Et ce matin, nous sommes servis : pas moins de trois guides ! Nous partons à pied de la gare d'Osny. Il est 8 h 40
Nous prenons à travers le parc, la direction de Boissy l'Aillerie.
Le noir et blanc, c'est juste histoire de dire que le temps qui passe n'a pas estompé les amitiés !
J'ai pris mes bâtons une fois encore, pour m'entraîner ( J'ai un séjour Raquettes dans quelques semaines ...) mais aussi pour ne pas risquer de tomber, car ce n'est pas vraiment la forme olympique !
Maryse et Micheline, elles, vont d'un bon pas.
A 9 h 48, nous passons devant l'auberge de la Gare à Montgeroult.
J'en ai un tas de choses à lui dire à mon petit père Noël !
Et surtout qu'il revienne parmi nous !!! Et pas seulement en décembre !!!
J'adore passer à cet endroit ...
C'est d'ailleurs là que nous ferons notre pause aujourd'hui.
Nous traversons l'aire de jeux de Boissy L'Aillerie.
Puis nous revoilà dans le Parc de Grouchy. Il n'est que 11 h 20 ...
Mais nous avons à faire ... c'est pourquoi la randonnée a été quelque peu écourtée !
Nous sortons du parc, et passons sous la voie ferrée.
Et nous fêtons dignement cette dernière randonnée de l'année ...
...qui se termine autour d'un pot de l'amitié !
A votre bonne santé à tous et à l'année prochaine, pour de nombreuses randonnées entre amis !!!
La randonnée initialement prévue du côté de Nucourt a été remplacée par un circuit au départ d'Osny à pied. Sage décision, les conditions météo rendant très difficiles les déplacements en voiture.
Il est 8 h 40 et nous voici donc à l'une des entrées du parc de Grouchy, magnifique sous la neige...
Peu de lumière ce matin, et nos appareils photos sont capricieux.
Ce qui nous apparaissaient très beau sur l'écran est en réalité assez flou. Désolée, pour la qualité assez médiocre de ces photos, qui n'en sont pas moins des souvenirs de cette randonnée mémorable.
Après avoir traversé le parc, nous avons pris la direction de Génicourt. Le ciel est rempli d'une neige qui ne va pas tarder à tomber. Tous bien équipés, nous l'attendons de pied ferme !
Il est presque 9 h 30 et nous passons devant l'église de Génicourt.
J'ai pris mes gentils bâtons avec moi. Non seulement ils peuvent m'éviter de tomber, mais aussi ils m'obligent à me tenir bien droite. Par contre, ils font travailler beaucoup de muscles du haut de mon corps qui ne sont pas sollicités habituelllement dans la marche sans bâtons, et par conséquent, cette randonnée sera finalement pour moi, encore plus "énergétivore " !!!
Cette fois, gros flocons sur nos trois Abominables ... Hommes des Neiges !
Voici un endroit un peu abrité du vent qui va nous permettre de faire notre pause sans geler sur place... Car le vent s'est mis à souffler et de légers flocons voltigent encore.
Micheline et Bruno ont légèrement commencé "les hostilités"...
sous les regards amusés de Maria et de Serge.
Mais le casse-croûte, c'est sacré et Bruno entame une trêve qui lui permet de déguster tranquillement ses madeleines, toujours bien installé sur son célèbre sac-pliant !
Ma gourde, pourtant bien abritée dans sa housse théoriquement isotherme, m'offre mon thé vert à la menthe ... glacé ! Délicieux, mais pas idéal pour se réchauffer.
Cela fait sourire Marcelle qui déguste une boisson bien chaude, qu'elle sort de sa gourde thermos !
Maria et Antoine en plein câlin ... Je soupçonne le gourmand Antoine d'avoir des vues sur ...
...la plaquette de chocolat de notre petite Maria !
Micheline prépare un mauvais coup ...
Et la bataille recommence ! Comme au bon vieux temps !
Ils sont restés de grands enfants, nos randonneurs !
Attaqué lâchement par derrière, Serge riposte.
Mais soudain, nous apercevons, au loin, quelques petites taches qui se déplacent.
Serge prend au télé-objectif. Ce sont des chevreuils qui traversent, non loin de notre groupe.
C'est un spectacle assez fantastique ! Ils s'arrêtent, nous regardent et décident de continuer leur traversée.
Jamais je n'en avais vus autant à la fois !
Des corbeaux emprisonnés dans une cage ??? Bruno a donné des explications que je n'ai hélas pas entendues. ( Si tu me lis, Bruno, je compte sur toi pour une explication concernant cette cage )
Maria attendait, à distance, espérant tout comme moi, que les hommes allaient délivrer ces pauvres oiseaux.
La neige retombe de plus belle, et Micheline fait une distribution de Kleenex, car le froid nous met la goutte au nez.
Nous entrons bientôt à Livilliers. Les flocons sont de plus en plus gros !
Nous contournons l'église de Livilliers en empruntant le Parvis St Fiacre.
Micheline et Maryse sont à la traîne ...La plus grande partie du groupe est déjà devant.
Les randonneurs commencent à en avoir assez d'être mouillés et ont trouvé un bel abri végétal pour attendre les dernières.
Nous sommes enfin de retour à Génicourt. Il est 11 h 43 et nous avons encore une heure de route.
Maryse et Micheline, dans la Sente de la Procession, à Génicourt.
Ouf ! Après environ quatre heures de marche, nous voici arrivées à Osny.
Craignant l'embuscade, Micheline avait fait provisions de boules de neige. Mais les premiers arrivés sont plutôt calmes et pacifiques !
Quelle rando !!! Pas moins de 16,5 km d'après IGN rando !
Et quelle bonne sieste j'ai faite après !
Rendez-vous, dimanche 27 décembre, mes amis, pour notre dernière randonnée 2009 !
Mais en attendant,
Je suis bien décidée ce matin, et ce ne sont pas ces jolis flocons qui vont m'arrêter ! Au contraire !
Il fait encore nuit et c'est à pied que je me dirige vers notre point de rendez-vous habituel du jeudi matin. Il n'est pas encore 8 h 15 comme l'indique le clocher de l'église.
Pas un chat sur le parking de la poste !
Pas plus que devant la Maison des Associations ! Moi qui étais toute contente à l'avance de toutes les belles photos que j'allais pouvoir prendre ! Où sont-ils donc tous mes amis " Randonneurs du jeudi " ?
Vous n'aimez pas la neige ? Moi si ! Finalement, j'aperçois un traîneau qui arrive sur le parking ...
Je serais allée marcher seule, bien équipée, armée de mes deux bâtons afin d'éviter une chute intempestive ... Mais ....
Je n'étais pas seule, ce matin, à marcher dans ce beau parc que j'adore ... Ce lieu que j'aimerais te faire connaître, à toi Lecteur qui apprécie mon Blog. Mais qui donc était à mes côtés, qui donc est passé avec moi à proximité du Temple d'Amour ? Et qui, comme moi, était bien vite sorti de son lit, pour ne pas risquer de manquer l'heure de notre rendez-vous ? A quelques minutes près, je le manquais aussi, ce personnage mystérieux encapuchonné de rouge ...
Chers amis, "Randonneurs du Jeudi", qui n'êtes pas venus ce matin, l'avez-vous reconnu ?
Mais que faisiez-vous donc en ce 17 décembre ?
Planqués sous votre couette, au chaud dans votre chambre ?
Mais pendant deux semaines, je ne vous verrai pas,
moi qui tout spécialement était venue pour vous !
Pour mon plus grand plaisir, l'amitié était là,
Je l'ai bien reconnue ... Pas vous ?
C'était le vendredi 11 décembre 2009 !
Je reviens de ce concert ... enchantée. Je vais me coucher la tête encore pleine de ces belles images et de toutes ces notes ... de toute l'émotion de voir ma fille sur scène, de l'entendre chanter, de la voir jouer de sa lame sonore et de la voir danser... entourée de ses copains, qu'elle connaît depuis l'enfance pour certains.
Car en effet, le charmant groupe qui passait, en première partie, n'était autre que Le Chat Noir, dont ma petite Marion est la chanteuse. Elle joue également de la scie musicale. Quand je dis "charmant" vous penserez bien-sûr que je ne suis peut-être pas très objective, mais lisez plutôt la présentation qu'en a faite Le Forum de Vauréal :
LE CHAT NOIR
Thierry et son bouzouki qui est encore un instrument au nom très étrange pour moi ! Sorte de mandoline à huit cordes.
Et l'on continue avec Frédéric qui joue maintenant de la vielle à roue.
Olivier qui nous a charmés en chantant ( en roumain je crois ?) est à l'harmonium.
Sous toute réserve, je crois que Marc joue maintenant de la gralla ( à vérifier )
François au violon, Marc avec sa cloche et Xavier, un peu caché derrière sa batterie.
Pour finir, voici Xavier, très concentré derrière son cymballum, un magnifique instrument.
Quelle magnifique soirée !!! Un ravissement, autant pour les oreilles que pour les yeux !
Merci à vous tous, musiciens de tous âges qui passez d'un instrument à l'autre pour notre plus grand plaisir !
Tant de talents en une seule soirée : un vrai bonheur ! Y a des jours comme ça ....
Notre jeune CHAT NOIR promet ... je vous le dis ... objectivement ! ( si ! si ! )
Dimanche 6 décembre 2009
La météo et la couleur du ciel de ce matin de décembre en ayant rebuté plus d'un, douze randonneurs se retrouvent malgré tout à 8 h 20 sur le parking de la gare, pendant que d'autres sont encore sous la couette ! Le ciel est bien gris, certes, et la pluie commence à tomber, mais il fait très doux ( 10°5 ! ) et la bonne humeur est au rendez-vous.
En voiture, direction Génicourt où nous laissons nos voitures sur le parking de la Mairie.
Capes et blousons sont vite enfilés, car la pluie commence à tomber.
Micheline est très fière d'avoir en main LA carte du Guide qui n'en finit pas de se préparer !!!
Nous remontons la rue des Morvilliers, et bifurquons à gauche en direction d'Epiais Rhus.
Nous rejoignons la D 22, en laissant derrière nous, le calvaire et le silo.
Quatre chevreuils ont traversé le chemin, mais je n'ai pas été assez rapide, et mon zoom peu puissant ne montre que les quatre petites taches noires à droite de la photo.
Nous voici arrivés à Epiais Rhus.
L'église d'Epiais Rhus, hélas un peu enlaidie par la proximité des travaux, se laisse malgré tout admirer de quelques randonneurs.
Une belle dominante rouge pour ce petit groupe qui sera ainsi bien visible des chasseurs !
Nous prenons maintenant la direction de Livilliers, en empruntant la rue des Chantereines.
Nous voici de nouveau en pleine campagne.
Le terrain est plutôt boueux !
La traditionnelle pause "banane" pour Maryse et Micheline...
ou autres gourmandises ... pour Michèle et Paula.
Michel, entouré des deux Catherine !
Et moi, qui domine la situation !
Encore de la boue ! Mais toujours des traces de la civilisation moderne ... ( Le guide est au téléphone ! )
Sur la pancarte " Régulation de prédateurs - Attention Pièges ! "
Les arbres ne poussent pas avec ces marques blanches et rouges. Pour que nous puissions cheminer sereinement, 6 000 bénévoles passionnés s’activent toute l’année, pinceau ou serpette en mains. Création de sentier, entretien et balisage... Les baliseurs de la Fédération Française de Randonnée Pédestre sont les premiers remparts de protection d’un réseau vivant et fragile, riche de 180 000 km de sentiers. ( source FFRP )
« Marche et tu te sentiras libre » dit un proverbe Touareg :
Hier matin, le temps gris, pluvieux, venté a fait que seulement neuf randonneurs étaient au rendez-vous !
J'ai fait peu de photos, car les conditions météos mettaient en péril mon petit Canon. De plus, mon assistant photographe avait préféré un lever plus tardif. Moi, pas très en forme, suite à une nuit encore très agitée, je me suis malgré tout levée, mais je l'avoue, avec bien du mal. Ma mise en route fut difficile et j'ai encore aujourd'hui dans les jambes, le souvenir de quelques côtes qui n'en finissaient pas de grimper !
Néanmoins, j'ai apprécié cette balade plus qu'humide qui nous a donné l'occasion de faire prendre l'air à nos capes !
Nos randonneurs sont incognito !
Mais la pluie n'altère en rien la bonne humeur du groupe.
La pluie est de courte durée.
Hélas ... cette décharge sauvage existe encore !!!
C'est plutôt révoltant ce genre de spectacle ...
Nous retrouvons avec plaisir notre arbre "crocodile" auprès duquel nous avons plusieurs fois fait notre pause.
Je ne sais pas trop ce que regardent mes compagnons de marche !!!
Je ne sais si vous aimez le vent, mais moi, j'aime sa rude caresse sur mon visage, qui me donne toujours cette impression de purification.
Le long du chemin, une Croix Pattée
"Une croix pattée est un type de croix dont les bras sont étroits au niveau du centre et larges à la périphérie.
Le nom vient du fait que les bras de la croix font penser à des pattes.
Il existe plusieurs variantes de croix pattée." Source Wikipedia
Enfin, nous voici de retour à Frouville.
Vraiment épuisée, je me suis écroulée juste après le repas et suis restée sous ma couette et y suis restée presque quatre heures, avec un mal fou pour émerger en début de soirée. J'ai enfin dormi d'un bon vrai sommeil profond ! Faudrait-il que je parcours mes 15 km tous les jours pour ressentir plus souvent ce bien-être ?
Aujourd'hui, j'en aurais été bien incapable ... mais, nous nous retrouverons dimanche prochain !
Nous sommes dix-neuf randonneurs ce matin. Après avoir un peu hésité, je n'ai pas pris la première sortie "Frépillon", mais la suivante "Forêt de Montmorency" et c'est exactement ce qu'il fallait faire pour ne pas avoir à traverser toute la commune !
Nous voici donc arrivés directement dans la rue du Coudray où se trouve la Maison des Associations. C'est là que nous garons nos voitures.
Petit breafing du guide avant de nous mettre en route. Puis nous prenons à droite en sortant du parking.
Nous montons d'abord la rue de l'Isle que nous trouvons à notre droite encore.
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Toujours à droite,nous suivons un peu la rue de la Vieille Fontaine, avant de nous engager dans le chemin rural n°3 du Moulin à vent.
Le groupe s'étire déjà, mais Marcelle et Serge veillent aux croisements !
En passant devant un chemin au nom assez étrange (chemin du Trou Monsieur et des Saussayes) un cheval, qui semble égaré, s'approche de nous, puis fait demi-tour.
Nous sommes bientôt sur la Route Forestière du Poteau de Paradis et nous entrons dans la forêt de Montmorency.
Micheline commence déjà sa cueillette !
Tout en marchant, notre amie garde un oeil attentif.
Aux croisées de chemins, il se trouve parfois que les premiers soient les derniers !
Nous gravissons maintenant cette côte sablonneuse qui nous amène à l'un des points culminants de la Forêt de Montmorency : la butte des Sapins Brulés (195 m)
Ouf ! Nous y voilà ! Mais le vent souffle tout en haut, et nous allons redescendre un peu sur l'autre versant pour nous abriter et faire notre pause.
Pour une fois, je m'asseois, ce que d'habitude je ne fais jamais, contrairement à notre ami Bruno, toujours super équipé.
Serge a préparé un parcours inconnu de nous et nous redonne quelques consignes de sécurité pour ne pas nous perdre.
Cèpe ou bolet ? Il faudra que je me renseigne de nouveau ! Comestible en tous cas.
Nous voici maintenant dans le camp des résineux, celui du sapin et de ses cousins, qu'on appelle aussi les conifères parce qu'ils portent des cônes. Contrairement aux feuillus, les résineux ont des feuilles sous forme d'aiguilles qu'ils conservent toute l'année, on parle alors de feuillage persistant. Une exception qui confirme cependant la règle : le Mélèze, dont les aiguilles deviennent jaune doré à l'automne avant de tomber comme chez les feuillus. Ainsi le Mélèze possède le rare statut de résineux à feuillage caduc ! ( Source ONF)
Alors là, j'avoue, trop occupée à chercher les cèpes, je n'ai pas assez observé ni la silhouette des arbres, ni les éventuels cônes. Les nombreuses aiguilles tombées au sol me troublent un peu, je pensais que le mélèze vivait en altitude. Je penche malgré tout pour le pin sylvestre, sous toute réserve.
Ces deux Gaulois ne craignent qu'une chose : que le ciel leur tombe sur la tête !
Allez Ulysse, donne la patte !
Nos hommes sont très galants.
Bien agréable ce tapis de feuilles ...
Dépèche-toi un peu André, tu es suivi !
Magnifique ce cèpe !
La dernière prise de Micheline a fait des envieuses !
Pas d'eau à la pompe, mais un joli bouquet de houx pour André.
Ce cheval nous suit sur quelques mètres, mais nous n'avons rien à lui offrir que des caresses ...
Bernard est tout heureux avec son "amour en cage" qu'on nomme aussi "Physalis" ou "Coqueret du Pérou" et dont le fruit est une baie rouge ou orange, enfermée et cachée dans cette sorte de lanterne qui se transformera en cage de dentelle. Mais attention, d'une cage, soit-elle dorée, l'amour finit toujours par s'envoler !!! Et le fruit devenu charnu se laissera manger, délicieux en confiture.
Mais continuons notre chemin, d'autres aventures nous attendent !
Nous sommes à proximité d'une " rave party " et Micheline semble prête à y aller faire un petit tour ...
Nous passons discrètement près du bâtiment désaffecté où se tient la Rave, ne voulant pas déranger les "Ravers"
Discrètement, mais assez rapidement, tout en jetant des regards curieux !
Et l'aventure continue ! Qui aime les bains de boue ?
Apparemment, Ulysse adore ça !
Et il pose en plus, le coquin !
Un des photographes attend la chute !
Mais nous ne lui ferons pas ce plaisir !!! Pour ma part, j'ai soigneusement rangé mon petit Canon dans son étui.
Un passage dans ce tapis de feuilles va nettoyer un peu nos chaussures boueuses !
C'est sur cette dernière photo que nous nous quitterons.
Nous avons eu du vent, de la boue mais pas la pluie qui était annoncée pour l'après-midi.
Pour ma part, je ne sais pas s'il a plu finalement, car je me suis écroulée pour une longue sieste réparatrice !
sur mon Blog, mais jamais dans la nature !!!
J'ai fait beaucoup de danse dans ma vie. D'abord six ans de danse classique lorsque j'étais enfant. Puis un peu de Modern Jazz, alors que j'étais jeune adulte. Enfin, assez tardivement, je me suis d'abord inscrite à un cours de rock, et cela grâce à un ami de randonnée. Patrick, si tu me lis, tu sauras que tu as été le déclencheur de cette démarche, que j'aurais dû faire depuis bien longtemps : celle de m'inscrire dans un club de danse. J'ai commencé avec le rock, à Pontoise, puis à Montigny-les-Cormeilles, à Moisselles, et enfin à Taverny. Vous ne pouvez imaginer mes difficultés au début et cela d'autant plus que j'ai commencé les cours à la fin du mois de mars 2001, alors que les autres élèves avaient commencé en septembre 2000. Ne voulant pas laisser seule à la maison ma fille qui allait juste avoir quinze ans, je l'ai entraînée avec moi. Je ne souhaitais pas qu'elle connaisse la gêne de ne pas savoir du tout danser, ni cette impression désagréable que je ressentais moi-même étant plus jeune, mêlant l'envie et la peur de me lancer, tant mon ignorance était grande. Mais elle faisait de la musique et de la gymnastique, ce qui l'a beaucoup aidée. Nous faisions déjà partie, toutes les deux, d'un Atelier de Comédie Musicale. Nous avons très rapidement progressé. Bien sûr, elle, plus facilement que moi. Grâce également à despartenaires masculins très sympathiques et encourageants. Je n'oublierai jamais l'aide de Jean-Claude, Renald, Daniel, José, Fred, William et bien d'autres, qui, loin de se moquer de notre complète incompétence des premiers jours, nous ont si gentiment accueillies et mises à l'aise. Notre professeur a tout de suite remarqué ce duo mère-fille très motivé et consciencieux. Au bout de quelques séances, ( pas plus de quatre, quand j'y repense ... ) il nous a invitées au Moulin de Sannois ! Très vite, il nous a suggéré de rester au deuxième cours, nous qui n'étions que débutantes. Je suivais alors deux cours par semaine, l'un à Pontoise, l'autre à Montigny. Ma fille qui pratiquait la gymnastique et ne venait qu'à un cours au début, a vite fait son choix : celui de pratiquer le rock deux fois par semaine, et d'abandonner la gymnastique. Ce qui nous faisait alors quatre heures de danse par semaine.
J'étais si motivée et appliquée que j'ai progressé très vite ! Moins vite que ma jeune fille, bien sûr, qui elle, est devenue, à peine dix-huit mois plus tard, la partenaire du professeur. Nous avons suivi plusieurs week-end de danse, à Criel sur Mer, puis à Houlgate. Cela représentait environ 10 heures de danse, ce qui nous permettait de progresser encore plus vite. Je suis ou plutôt j'étais enseignante, et rien ne me plaît davantage ... qu'enseigner, y compris la danse. Ce qui n'a pas échappé à notre professeur, qui me chargea bientôt d'accueillir et de m'occuper des débutants qui arrivaient en cours d'année, aussi bien en rock au début, qu'en salsa par la suite. Filles ou garçons, il fallait bien que je m'adapte ! J'ai, par la suite, " fait le garçon " lorsqu'il manquait des partenaires masculins. Puis, notre cher prof me confia, plusieurs années de suite, les groupes de débutants, en rock et en salsa, lors des week-end de danse qui avaient lieu à Criel sur Mer vers le mois d'avril ou de mai.
Cours de salsa, les élèves sont très appliqués !
C'est grâce à notre professeur de rock, que je fis, toujours en compagnie de ma fille, mon tout premier voyage. Nous avions commencé depuis quelques mois à apprendre la salsa et c'est en Martinique, que nous sommes parties en février 2003, pour un stage de danse. Le rock était assuré par notre professeur, et la salsa, par un de ses amis qui est cubain.
Puis, nous avons ajouté la salsa, ( j'en reparlerai... )
Je me suis inscrite ensuite à un cours de danse de salon ( paso, tango, chachacha, rumba, quickstep, valse, valse lente, ... j'en oublie sûrement )
La valse n'a jamais été mon fort ...
Et une pause était plus que nécessaire tant la tête me tournait !
En avril 2006, je me régalais dans les soirées dansantes ...
Le madison et ses nombreuses variantes me plaisaient beaucoup.
Même le disco ne me faisait plus peur !!!
J'ai fait aussi un peu de country.
A une époque, je faisais plus de 10 h de danse par semaine. Ai-je trop tiré sur la corde ? Une maladie neurologique s'est déclarée en 2006 et j'ai dû tout arrêter. J'avais des vertiges et je ne pouvais plus tourner. Mes jambes ne répondaient plus. Maintenant, j'ai pris beaucoup de poids, avec l'arrêt de la danse, l'âge et le médicament. Aussi, cela me gêne beaucoup pour danser, et je me fatigue très vite.
C'est la troisième année maintenant, que je mets en mouvements les chants de nos comédies musicales, que je crée des "chorégraphies" ou que j'en adapte qui sont déjà existantes. Je les enseigne ensuite au groupe, avec qui, chaque année nous montons un spectacle.
Pour l'instant, je réussis encore au moins ça ... Cela me prend beaucoup de temps et d'énergie ... Mais, ça a le gros avantage de me détourner de mes soucis et surtout de me permettre d'être encore ... un peu dans la danse.
Bonsoir à tous
Hé hé ! On attend son petit reportage ? J'ai eu, cet après-midi, un gros travail de tri et de retouche des photos ( celles de Serge bien sûr !) Du coup, j'ai bien du mal à me mettre au travail. J'étais en manque, puisque je n'avais pas randonné la semaine passée, de marche mais aussi de papotages. Me voici de plus un peu frustrée de ne pas avoir vu un seul moulin sur les sept qui subsistent à Valmondois, grâce à la présence du Sausseron. J'aurais au moins fait le moulin à paroles ! Donc, pas trop de choses à dire sur cette balade !
Nous voici à Valmondois.
Cinq voitures ont amené dix-neuf randonneurs ce dimanche de novembre, venté, mais doux.
Nous voici à présent sur l'ancienne ligne de chemin de fer à voie métrique ( 1,00 m écartement des rails), reconvertie en chemin de randonnée pédestre, car il s'agit bien du GR1 qui traverse le village de Valmondois, en longeant la maison du peintre et humoriste Honoré Daumier.
Petite pause avant d'affronter une côte.
Nous en profitons pour nous réhydrater ... ou pour nous moucher ! Que caches-tu derrière ton dos, Gisèle ? Flasque ou un mouchoir ?
Ce chemin de la Vallée Qué grimpe bigrement ce qui n'empêche pas Micheline et Serge de continuer leur conversation à bâtons rompus.
C'est bon de rire de nouveau avec les copines ...
Là, le sujet a l'air plus sérieux !
Pas déjà la séquence "Les Marysades" , quand même ! ( les bonnes recettes de cuisine de notre Maryse)
Il n'est que 10 h 30 et c'est plutôt l'heure de notre petite pause habituelle.
Voici un animal pas mécontent du tout de nous voir.
Bruno aime son confort et siège fièrement sur le pliant incorporé à son sac à dos !
Il s'est régalé d'une grande partie de ma pomme, notre ami le cheval !
Pas facile d'aligner mon pas sur celui de mon grand Richard, mais je tente pendant quelques centaines de mètres !
J'ai envie de dire " Allez les Verts ! "
Sommes-nous si intimidées que nous baissions ainsi les yeux toutes les trois ?
Ou regardons-nous tout simplement où nous mettons les pieds ?
Laquelle de ces deux photos préférez-vous ? Version Sepia
Ou version couleur
à bientôt chers amis randonneurs et chers lecteurs
Jeudi 29 octobre 2009 Trop fatiguée pour randonner
Ce matin, à mon lever, je ressentais une fatigue intense, due probablement aux gros soucis que je rencontre actuellement. Donc, pas question de me joindre au groupe. Pourtant cette randonnée qui part de Grisy-les-Plâtres me plaît beaucoup ... Il y a maintenant plus de vingt ans, alors que j'habitais ce village, j'étais allée ramasser des champignons dans un bois à proximité d'Us. Et j'avais fait alors une impressionnante cueillette de cèpes.
Sacrée bonne idée que de remplacer ma randonnée par une marche en forêt et ... qui sait d'essayer de retrouver ce bois !
Nous voici donc partis mon compagnon et moi. Et bien que fatiguée encore, me voici de retour, avec mon petit panier bien rempli !
Il est déconseillé de mettre les champignons dans des sacs en plastique, mais nous n'avions pas prévu de panier assez grand !
Nous décidons ensuite de repasser par Grisy-les-Plâtres. Peut-être aurons-nous le plaisir de retrouver nos amis randonneurs. En effet, à peine arrivés dans le village, nous les trouvons sur la place du Soleil Levant, où ils se sont garés. Ils sont en train de se déchausser, et nous ne sommes pas peu fiers de leur montrer notre récolte.
De retour à la maison, j'étale notre cueillette sur la table, avant de me mettre à cuisiner.
Vous avez vu la taille de mes cèpes ? Car cette fois, ce sont bien des cèpes !
Nous nous sommes régalés et bien sûr nous n'avons pas tout dévoré ! J'ai déjà cuisiné le reste, que je vais congeler et réserver pour une grande occasion ... qui ne saurait tarder !
Cette journée, qui s'annonçait grise et triste, s'est trouvée comme ensoleillée par cette fructueuse promenade en forêt !
Très étonnée ce matin de devoir gratter le pare-brise de la voiture ! Le soleil est là mais la température est de 2 ° à 8 h ! Je suis agréablement surprise en arrivant sur le parking de la gare. Ma fille est là et vient randonner avec nous. Notre groupe compte aujourd'hui dix-sept courageux !
Vite, tous en voiture, nous avons un peu de route à faire.
Serans est un petit village de l'Oise qui fait partie du canton de Chaumont en Vexin, et qui compte 225 habitants. La plus grand ville à proximité est Gisors, située au Nord-Ouest de la commune à 11 km.
Après nous être garés dans la rue principale de Serans, nous nous mettons en marche.
Bandeau, casquette, chapeau ...
...écharpe, tour de cou ou cache-nez sont de rigueur !
Une petite côte pour commencer va sans aucun doute nous réchauffer !
Nous laissons l'entrée du Prieuré sur notre droite.
Et voici un magnifique exemple d'architecture gothique : l'église de Serans
Classée au patrimoine national, elle tient ses origines du XIème siècle, comme en témoigne son clocher en bâtière.
La façade du XVIe siècle en exprime son style gothique flamboyant très caractéristique.
Mais, nous ne nous attardons pas, notre randonnée ne faisant que commencer...
... et le froid vif, auquel nous ne sommes pas encore habitués, nous incite à aller de l'avant.
Tout se suite, nous sommes dans la campagne, suivis à distance par l'un de nos reporters.
Une petite caresse au passage à nos amis les chevaux.
Toujours pistés par l'oeil de mon photographe assistant... nous allons à présent prendre le GR 125 sur la droite.
Nous entrons maintenant dans le Bois de la Molière.
Un circuit est proposé, mais 7 km ne nous suffiront pas !
Je trouve que ce château d'eau a un beau look !
Ce n'est pas une rivière que nous longeons, mais un chemin inondé.
Notre Micheline a l'oeil ! Voyez ce joli bolet !
Il va me falloir consoler Catherine qui n'a encore rien ramassé aujourd'hui ! Quoi que ...
Ne dit-on pas qu'il faut toujours garder une poire pour la soif ? Nos randonneurs en ont plein la bouche !
Ben quoi ... oui nous sommes arrêtées ! Nous attendons les copines parties faire ... une pause technique !
Un passage en plaine, heureusement réchauffé par un soleil timide permet d'accélérer le pas. Ce n'est pas facile de passer devant ces deux-là ! Ah, la jeunesse !!!
Cette fois, Paula qui, d'habitude, a de sacrées enjambées, nous fait, aujourd'hui, des bonds de cabri !!!
Bon, moi, j'enlève une couche de vêtements.
Un bien joli paysage, non loin de la ferme de Figicourt.
C'est maintenant la pause et chacun grignote un peu.
Nous nous remettons assez vite en marche, le soleil est présent, mais la température demeure un peu fraîche.
Tant pis, je croquerai la pomme en marchant.
Nous traversons la plaine de l'Argilière.
Ces randonneuses marchent d'un bon pas.
Cependant, le groupe est assez étiré.
Ceci est l'entrée d'une ancienne carrière. Ce lieu est porteur de souvenirs pour quelques-unes d'entre nous...
Eh oui, Marion est dotée d'une force exceptionnelle ! " Vite ! Passez ! " nous crie-t-elle.
Ce qui amuse beaucoup notre petite Liliane !
Allez les rouges !!!
Nous voici bientôt de retour à Serans, notre point de départ.
Marion a une façon bien à elle de taper ses chaussures ...
Yvette et Maria sont bien plus "classiques" que Marion pour enlever la terre sur les chaussures !
Pendant que les derniers se préparent... Paula et Catherine jouent les stars !
Vous remarquerez les postures très étudiées ainsi que les sourires de ces dames qui viennent quand même de parcourir 15 km !
Casquette et lunettes noires pour ne pas être reconnue ... car la vraie star ... c'est qui ???
Au revoir Liliane, au revoir à tous et à dimanche prochain !
Pour la neuvième année, je participe à un atelier de Comédie Musicale. ( Ateliers du Contrepoint )
Chaque année, en mai ou juin, notre troupe se produit plusieurs fois dans la région.
En 2007 / 2008, l'année de notre spectacle "Mai 68", ( une comédie musicale d'Henri Faye et Albert Lévy ) je prends beaucoup de plaisir à enseigner à tout notre groupe, une petite danse, inspirée des pas de la salsa, que j'ai pratiquée plusieurs années. La chanson s'intitule " Oh mon Quartier Latin ..."
Nous avons eu le plaisir de faire une de nos quatre représentations au Beaumont Palace à Beaumont, le vieux cinéma où Eddy Mitchell présentait l'émission La Dernière Séance.
Dans le public, ma petite maman, à quelques jours de son 88 ème printemps !
Et la charmante Paula, maman d'élève et amie randonneuse.
En 2008 / 2009, pour "La Liberté Masquée ", je suis chargée des " chorégraphies", mot que je trouve bien pompeux ! (Je préfère de beaucoup l'expression "mise en mouvement des chants"). Sur l'un des chants (Madame Guillotine ) j'adopte très vite une proposition de deux petites danseuses très à l'aise sur scène. Il faut vous dire que pour la majorité, le groupe ne sait pas danser ... Mais il apprend vite et bien !!!
Pour la saison 2009 / 2010, de grandes nouveautés : nous serons accompagnés d'un orchestre d'une vingtaine de musiciens : La Pontoise Fanfare Jazz. Un musicien professionnel ( qui n'est autre que l'un de mes fils ! ) réécrit toutes les partitions pour chaque instrument.
Cette année donc, avec la comédie musicale "Chicago", nous avons du pain sur la planche ! L'apprentissage de la première des ..."chorégraphies" nous a déjà pris quatre séances ... et n'est pas terminé ! Mais je dois vous dire que ce grand groupe, qui compte une trentaine de personnes, se donne à fond, et que cela a déjà pas mal d'allure !
Alors, Messieurs, cela vous tente de venir chanter avec nous ?
Passez votre souris sur la photo, et vous aurez les prénoms des ces charmantes dames.
Quel veinard ce Gilles ! ( chanteur et musicien dans le groupe rock KYBB)
C'est le traducteur de nos chants, et cette année, il est aussi notre "maître chanteur".
Merci à Daniel ( au centre avec le chapeau ) pour ce bien joli montage qu'il a créé à partir de mes photos.
Ne manquez pas de venir nous applaudir les 5 et 6 juin et les 15 et 16 juin 2010 à Pontoise.
Infos sur demande en utilisant le formulaire de contact
Mercredi 21 octobre 2009 " Oh admire ta p'tite reine danser le shimmy "
Je suis contente : les membres du groupe sont appliqués, on avance bien !
Mercredi 18 novembre 2009, c'est notre huitième séance de danse, et la première chorégraphie est enfin terminée !
Nous avons ce jour-là, la présence de douze des musiciens de l'orchestre qui nous accompagnera.
Lionel est stressé ! Il me récite son texte, pendant que je reprends des forces !