Petit reportage sur notre SEJOUR MARCHE NORDIQUE EN VERCORS du 17 au 23 octobre 2010
Nous arrivons à Léoncel Dimanche 17 Octobre 2010, et en franchissant le Col des Limouches,
nous rencontrons ... la neige !!!
Notre arrivée à Léoncel .... se fait sous la pluie, et le vent !
Mais à La Vercorelle, un bon feu de cheminée nous attend ...
Nos hôtesses Catherine et Isabelle nous accueillent vraiment chaleureusement dans leur confortable demeure de charme.
Quelque soit l'endroit où notre regard se pose, nous sommes surpris et enchantés par la décoration originale et raffinée.
Catherine et Isabelle sont deux artistes, l'une brode et l'autre peint !
Pour ma part, je connaissais les lieux pour être venue cet été faire une petite visite de reconnaissance, et je suis toute contente de voir mes amis en admiration devant la beauté des lieux. Bien sûr, mon petit ordi m'accompagne et c'est pour cette raison que ... mais n'allons pas trop vite !
Chacun reprend des forces, en dégustant une boisson chaude... en attendant l'heure du dîner.
Bernard est devant un gros dilemme : le choix de l'apéritif !
Pas moins de dix vins de fabrication maison ! Vin de noix, vin de châtons de noyer, vin de pissenlit, vin de coucou, vin de sureau, vin de cassis, vin de citron, vin de pamplemousse, vin de gentiane et vin d'orange...
Puis une nouvelle épreuve nous attend : résister pour ne pas reprendre de chacun des plats qui nous sont servis au dîner, sur une table admirablement bien dressée. Je vous l'avoue, je ne résiste pas !!! Et bien peu de mes compagnons y parviennent, Catherine cuisine aussi bien qu'elle brode !
Lundi 18 octobre 2010
Après une bonne nuit, la table du petit déjeuner est tout aussi jolie et appétissante.
Mais là encore, le choix s'avère difficile :
douze confitures présentées sur deux beaux plateaux tournants s'offrent à nos regards gourmands !
Micheline, qui n'est pas bien réveillée, se demande si elle ne rêve pas !
Ma solution pour goûter à ces confitures : de toutes ... un peu ! Deux tartines comme celles-ci et le tour est joué !
Puis il est temps de faire connaissance avec Didier qui sera notre guide.
Car, ne l'oublions pas, nous sommes venus pour pratiquer la marche nordique !
Les conditions météorologiques sont loin d'être clémentes...
A part Eléna qui choisit de ne pas sortir ce matin, six vaillants randonneurs se préparent à affronter le mauvais temps.
Les difficultés commencent avec l'enfilage des guêtres ...
Lundi 18 octobre 2010, ce sera également dans et sous la neige que nous ferons notre première sortie !
Pas vraiment facile de marcher dans la neige, même si les bâtons nous aident un peu.
S'il reneige, demain il faudra prévoir les raquettes !
J'ai chaud, et je suis essoufflée ...
Le mauvais temps nous oblige à déguster notre pique-nique ... à La Vercorelle. Mais la bonne humeur est là !
Pendant que Bernard et Maryvonne se chargent de remplir le lave-vaisselle ...
Je me détends dans le fauteuil massant mis à notre disposition. Car l'après-midi, nous repartons.
Les filles ont pris de l'avance ... et pas question de rester immobiles en attendant ces messieurs !
De retour à La Vercorelle, où une boisson chaude nous attend, nous nous reposons un peu devant un bon feu.
Chacun a déposé ses chaussures devant l'âtre.
Puis le dîner commence par une délicieuse soupe de courges aux graines de tournesol,
à laquelle chacun de nous, ou presque, fait honneur à deux reprises.
Le dîner se poursuit tout aussi bien qu'il a commencé, et je vous épargne les nombreuses photos des plats qui viennent ensuite, tous plus beaux et plus savoureux les uns que les autres.
La soirée ne sera pas longue, car le groupe est bien fatigué par cette première journée.
Hélas, pour moi, la nuit sera bien trop courte et si peu réparatrice, que le lendemain, je ne me sens pas la force d'affronter une journée de marche en raquettes.
Mardi 19 octobre 2010
J’assiste le cœur un peu gros à leur départ,
sachant malgré tout qu’ils me feront profiter à leur retour des photos qu’ils ne manqueront pas de prendre.
Je me recouche et somnole presque toute la matinée, ce qui est plutôt bien pour moi qui parfois ne peux rester allongée.
Le temps était plutôt couvert ce matin, lorsque mes amis sont partis,
mais une belle lumière me sort de ma torpeur et m’attire à la fenêtre de ma chambre,
d’où je découvre enfin les belles couleurs d’automne auxquelles je m’attendais.
Les veinards ! Comme cela doit être beau là-haut ! Les arbres saupoudrés, et ce rayon de soleil ...
Mais là où ils sont, c'est plus que saupoudré !!!
Les contrastes sont magnifiques !
De mon côté, je prends mon petit panier repas en profitant du calme exceptionnel de La Vercorelle,
pendant que mes amis se sustentent, bien à l'abri dans le refuge d'Ambel à 1222 m.
En 1940, durant la guerre, le plateau d'Ambel a été un haut lieu de la résistance. Les troupes allemandes ont combattu contre les français. Le refuge d'Ambel a été protégé par un groupe de jeunes mais malheureusement celui-ci fut détruit. Après la guerre, un nouveau refuge a été construit. Il n'y a pas si longtemps la série " un gars et une fille " y a été tournée.
http://youtube.com/watch?v=vHI0zEnwFa0[/youtube] Un peu d'humour ... mais revenez avec moi !!!
Didier leur a allumé le poêle, qui a, paraît-il, beaucoup fumé et peu chauffé !
Sur cette pancarte on lit : "Feux interdits à l'extérieur des refuges" ...
Un comble pour Elena qui tient dans sa main droite ... devinez quoi !!!
Pas facile de rechausser les raquettes après le repas ...
Parfois, il faut aussi déchausser !
Puis rechausser !
De retour à La Vercorelle, mes amis me font partager leurs exploits !
C'est une grande première pour Radia qui est la seule du groupe à n'avoir jamais chaussé de raquettes ...
C'est une bonne occasion de trinquer et Catherine et Isabelle profitent de l'occasion pour nous faire goûter la Clairette de Die.
Mercredi 20 octobre 2010
Ce matin, je suis bien contente de partir avec mes amis. Eden, le petit Welsh Terrier qui nous accompagne aujourd'hui, a déjà quitté La Vercorelle, mais prend la mauvaise direction !
Les magnifiques guêtres rouges qui m'ont été prêtées seront vite enlevées, car aujourd'hui, le temps est sec et nous n'allons pas rencontrer la neige.
Après avoir gravi un bien joli sentier, nous voici au pied de la Croix du Vellan qui domine le village de Plan de Baix et la vallée de la Gervanne.
Imposante avec ses 11 mètres de haut, il est parfois difficile de la photographier en entier !
Erigée en 1934, elle représente le symbole d'une réconciliation entre Protestants et Catholiques de la Vallée de la Gervanne.
Elle est située à 953 mètres sur le plateau du Vellan.
De là où nous sommes, nous profitons d'un magnifique panorama que nous commente Didier, notre guide
et que je vous laisse admirer.
Splendide, n'est-ce pas ?
Puis, nous reprenons le sentier ...
Nous nous faufilons maintenant dans une sorte de couloir minéral constitué d’énormes blocs rocheux, et couvert de mousses par endroit. Je crois que c'est une partie du Canyon des Gueulards, mais ... il va falloir que je vérifie, car j'ai un gros doute !!!
Nous ne manquons pas de remarquer les regards complices et amusés d'Elena et de Didier
Deux choix s'offrent à nous pour rejoindre Plan-de-Baix : Monter pendant 25 mn ou descendre pendant 15 mn !
Pour Micheline, le choix est vite fait ! Sans doute avons-nous manqué quelque chose ...
Ici, désaccord dans notre souvenir ... Elena pense que nous sommes montés.
Maryvonne et moi nous avons plutôt le souvenir d'être descendues. Didier nous départagera sans doute !
Nous sommes sous le Rocher du Vellan, et arrivons dans le village.
Une toiture en tuiles "canal" est constituée d'un modèle unique de tuiles creuses en terre cuite.
Didier nous explique, qu'à l'origine, les tuiles étaient moulées sur la cuisse.
Nous commençons à avoir un sérieux petit creux ...
... pas vous ? semble demander Eden.
D'abord une part de quiche aux poireaux ( si mes souvenirs sont exacts)
puis une délicieuse salade que nous a préparée Catherine,
et à laquelle nous faisons honneur !
Lentilles, petits cubes de courgettes crues et émincé de dinde ... Hummmm ! Sacré pique-nique !
Mais il faut bien reprendre des forces, car l'après-midi va être long ...
Je n'aime pas bien marcher sur la route, mais il faut avouer que celle-ci est bien jolie !
En suivant la D578, nous rencontrons quelques petites chutes d'eau ...
Didier nous recommande de plutôt prendre en photo la prochaine cascade que nous devrions rencontrer bientôt ...
Seulement voilà ... les choses ne sont pas toujours ce qu'on voudrait ...
Nous passons devant le Moulin de La Pipe et suivons la direction des Gorges d'Omblèze.
Nous voici bientôt devant la fameuse cascade ...
...qui ne coule pas !!!
Nous sommes très étonnés, mais pas autant que Didier !
Pas le moindre filet d'eau !!!
Décidément, les Valdoisiens que nous sommes détraquent le temps ! Neige à la mi-octobre et cascade asséchée !
Gelée peut-être ? Que va-t-il donc encore se passer ?
Nous quittons la route et empruntons ce sentier vers la Ferme du Pescher et les Sept lacets.
Je ne sais s'il y en aura sept ... mais ouh la la ...que ça grimpe !
Cette ferme écologique, autonome en énergies solaire et hydraulique ( l'eau provient d’une source), propose différentes activités en Agriculture Biologique. Elle accueille des groupes d’Avril à Novembre dans des structures atypiques ( yourte mongole, tipi, châlet ... ) Elle est située à proximité des Gorges d'Omblèze
qui offrent un site d'escalade remarquable.
Nous nous arrêtons à peine pour admirer l'habileté de ce grimpeur...
... le sentier monte ...
... monte ... en lacets comme son nom l'indique !
La pause boisson est non seulement plus que méritée, mais absolument nécessaire !
Un peu plus loin, nouvelle pause, mais très courte, car le vent souffle.
Nous sommes sur le GR9.
Courte pause encore une fois, légèrement abrités du vent par ce bouquet d'arbres
Elena nous rejoint, cheveux au vent.
Au loin, nous apercevons Léoncel, mais il nous semble que plus nous marchons ...
...moins nous nous en approchons ! Mon podomètre indique presque 20 km depuis ce matin.
Sur ce panneau, Léoncel est indiqué à 3,5 km, 50 mn de marche.
Cela n'a pas l'air de ravir Radia !!! Les marcheurs que nous sommes mettront bien moins de temps !
Quant à moi, je ne sens plus mes jambes qui pourtant soudain s'emballent et me voilà bientôt seule, devant tous ...
Je m'aperçois en regardant cette photo prise par Serge, que Didier était en arrière avec Maryvonne.
Je marche en avant d'un très bon pas. Juste derrière moi, Elena et Radia, puis Bernard, Micheline et Maryvonne.
Serge reste en arrière et prend des photos. Tout comme le cheval qui "sent l'écurie", je hâte le pas !
Je sens quelqu'un s'approcher derrière moi. Je pense d'abord que c'est Elena, mais c'est Didier qui me demande si je sais à quelle allure je marche. J'apprends que je suis à 8 km/h ! (J'ai retenté l'expérience depuis, sur mon tapis de marche, et forcément, sans mes bâtons, mais sans y parvenir. Je parviens à marcher à 7,5 km /h, après je suis obligée de courir.)
Sentir l'écurie, c'est pour tout un chacun avoir le plaisir de se sentir de retour chez soi...
Moi, c'est de retrouver La Vercorelle qui m'a donné des ailes !
Après 23 km de marche, et probablement pas loin de 700 m de dénivelé ce jour-là, ( Didier me corrigera si je me trompe ! ),
nous avons bien mérité, dans un premier temps, la boisson chaude qui nous attend.
Au dîner, nous avons grandement fait honneur au délicieux pot au feu de Catherine.
Jeudi 21 octobre 2010
Certains des plateaux du Vercors drômois sont spectaculaires (Ambel, Font-d'Urle), et offrent de belles vues des uns sur les autres ou sur les plaines environnantes. Aujourd’hui, nous allons en prendre plein les yeux !
En quittant Léoncel, nous prenons la direction du Col de La Bataille. Bien équipés, munis de nos bâtons, mais aussi de nos raquettes, car il a encore neigé.
Ne vous y trompez pas, nous sommes bien en automne !
Le GR 93 va nous conduire jusqu'au Pas du Gouillat ( 1328 m )
Pour l'instant, les raquettes sont nécessaires.
Il fait bien froid ce matin, même si
Tout au long de cette journée, nous sommes émerveillés, par la beauté du paysage.
Et chaque petite halte permet d'en profiter pleinement et c'est un vrai bonheur !
Allez en route ! Suivons le guide, car ce sera de plus en plus beau, là-haut !
Nous sommes sur la bordure Ouest du Plateau d'Ambel, et
à nos pieds s'étend la vallée de la Gervanne.
Nous continuons notre "ascension" vers le Pas du Gouillat ( 1328 m)
J'ai vraiment chaud ! J'enlève une couche.
Parfois, nous sommes dans les nuages, parfois le ciel se découvre,
et cette alternance plutôt rapide a quelque chose de magique.
C'est sans raquettes maintenant que nous longeons des clôtures de pâturages, en direction de la Tête de la Dame.
Didier, notre charmant guide, me prend mes raquettes, afin que je puisse me servir de mes deux bâtons.
Il faut bien l'avouer : je peine un peu !
Mais ... suis-je vraiment la seule ?
Cette Tête de la Dame me paraît bien loin ...
la pente est longue, mais fort heureusement, plutôt régulière.
Nous approchons du point culminant de notre marche.
Didier nous signale la présence de chevreuils,
en lisière de forêt.
Hélas, nos appareils photos ne sont pas pourvus de zooms suffisamment puissants.
Le paysage est toujours splendide,
et il est très tentant de s'arrêter souvent pour prendre des photos.
A droite , se dresse le Roc de Toulau ( 1581 m ).
Maintenant, le vent souffle, mais le ciel est dégagé et le soleil est là.
Et nous montons, nous montons ...
Didier est maintenant bien chargé : trois paires de raquettes ! Derrière nous le Roc de Toulau : grandiose !
Nous y voilà enfin ! Vous avez vu la tête des dames ?
Ce que l'on découvre de là-haut, vaut bien quelques heures de marche.
"Comme c'est beau ! " pense Micheline.
Merci à toi Didier de nous avoir conduits jusque là.
Il est maintenant l'heure de se restaurer.
Mais il vaut mieux redescendre légèrement pour être un peu à l'abri du vent.
Nous avons même du mal à nous résoudre à redescendre un peu.
Chacun a envie de fixer ce paysage de toute beauté,
... aux couleurs d'automne et d'hiver mélangées.
Mais l'appel de l'estomac est de plus en plus fort !
Et nous voici installés, à la plus belle des terrasses !
Nous découvrons avec délice, parmi les petites boîtes que nous a préparées Catherine, cette copieuse salade de chou chinois, pâtisson, carottes, herbes aromatiques et jambon qui l'accompagne.
Nous avons tous très bon appétit !
Le pique-nique s'achève par un café chaud qui est le bienvenu.
Puis nous reprenons notre marche.
Le plateau d'Ambel nous donne une impression d'immensité.
Nous marchons, nous marchons ... J'ai du mal, je suis seule, en arrière...
... mais j'apprécie de tout mon être cette sensation d'espaces infinis, de solitude et de silence.
Au milieu de cet immense pâturage, nous rencontrons des chevaux
qui ne semblent pas très étonnés de nous voir traverser leur territoire. ( à suivre ... Voir Suite du Billet)
(Suite de cette belle journée du 21 octobre 2010. )
Des chevaux viennent même nous saluer.
Une clôture signale un danger. Nous sommes intrigués par le terme local "scialet" employé pour désigner un gouffre.
Je reste sagement derrière la clôture, pendant que certains de mes compagnons s'approchent prudemment.
Nous remarquons qu'un lièvre est passé avant nous !
Je préfère marcher dans les traces des raquettistes qui nous précèdent.
Cet arbre a encore quelques feuilles et nous rappelle que malgré la neige, nous ne sommes encore qu'en automne.
Bientôt, nous allons faire une petite pause...
... mes jambes tremblent un peu. Didier me donne une petite barre énergétique,
dont j'ignore complètement la composition,
mais qui, au moins moralement me donne un coup de fouet !
Nous revoilà partis ... Maryvonne va tranquillement, à son rythme,
Enfin, nous abordons une descente !
Et je ne suis plus la dernière !
Même Elena a l'air d'en avoir ... " plein les raquettes" !
Aux abords du refuge d'Ambel, quelques chevaux nous regardent passer.
Serge insiste pour me faire visiter le refuge, mais je suis vraiment fatiguée et n'ai pas la moindre envie
de rallonger cette marche dans la neige. Nous retrouvons enfin le GR 93.
que je crois bien reconnaître.
Et cela me rassure ...
... car cette magnifique balade m'a quand même bien éprouvée.
Maryvonne est derrière nous et continue de mitrailler !
Ouf ! Nous voici de retour vers le 4 x 4 de Didier où Radia nous attend.
Tout le monde se réjouit de retrouver bientôt la Vercorelle.
Mais avant, il faut aller rendre les raquettes.
Non, ce n'est pas encore l'heure de l'apéritif, nous venons juste de prendre les uns un thé, les autres un chocolat chaud.
Après cela, les filles se rendent à l'atelier de Catherine pour suivre un petit stage de scrapbooking.
Grâce à la patience et à la compétence de notre professeur Isabelle, chacune de nous emportera sa petite "création".
Cette fois, c'est l'heure ! Et il ne faut pas nous le dire deux fois !
Nous sommes affamés, et plutôt calmes ...
Si mes souvenirs sont exacts, Isabelle nous a servi, entre autre, un flan de légumes, ce soir-là.
Didier fait un gros câlin à Eden, que nous n'avons pas emmené avec nous aujourd'hui.
La semaine n'est pas finie ... mais j'arrête là mon récit ...
Si ce "reportage" vous a plu, s'il vous a donné l'envie de nous rejoindre pour un prochain séjour ... Contactez-moi.
S'il vous a donné envie de séjourner chez Catherine et Isabelle, à La Vercorelle :
Si vous avez envie de faire appel à Didier :
http://www.kadiane-vtt.com/kadiane_vtt_vercors.html
à bientôt ... pour de nouvelles aventures !
1. 30/12/2010
Eh oui, Monique, Annick est un peu épicurienne sur les bords !!!
2. 22/11/2010
Je comprends le nom du site :"marche plaisir"